COMMUNE DE CAMPO (CAMEROUN)

POPULATION AUTOCHTONE DE LA RÉGION ADMINISTRATIVE DU SUD PREMIÈRE PARTIE

<< ÉLAT >> ÉBOLOWA LE GRAND SYMBOLE D'UNITÉ DE TOUTES LES FAMILLES AUTOCHTONES DE LA RÉGION ADMINISTRATIVE DU SUD : ÉLAT OU UNITÉ DU SUD : PARTIE I.
Mvayi (Mabi), Mapfuer ou Ntumu, Pfang, Bassa, Mpoo ou Bakoko, Beti (Kolo et Bané), Bulu (Meyomessala-Bengbis), Ndowé (Lolabé) , Bona-Mbédi ba Bonambéla (Petit-Batanga), bagyéli, Bakola, et Baka, il est exactement 16h17mn sur le grand esplanade du temple de l'Église Presbyterrienne Camerounaise (EPC) d'Élat à Ébolowa sur la rive droite de la rivière Mpiandé (afluent du fleuve Mvila ou Mbila ou encore Mvumbo qui coule juste à l'ouest de la ville d'Ébolowa et qui par conséquent donne le nom au département de la Mvila dont Ébolowa avec son site d'Élat est le chef-lieu.
Même heure à Éssèka dans le grand et le redoutable canton Bassa Ndog-Njé I dans le département du Nyong et Kéllé chez les Bassa Ba Bassikol ou Ngho-Nlong, le canton du grand guerrier Bilong Bi Bilong, l'homme qui domina toute l'actuelle région administrative du Sud actuelle depuis Ésèka jusqu'à Ébolowa et Sangmelima, Ngoumou, Ngomedzap, y compris, le redoutable chef de guerre Bassa Bassikol de la grande famille Ndog-Njé qui infilgea une defaite totale à la grande coalition Mapfuer-Pfang ou Ntumu-Fang qui une fois établis dans l'actuelle province Gabonaise du Woleu-Ntem (Oyem) voulurent de nouveau reconquerir leur ancien territoire des rives gauche du fleuve Nyong surement vers 1700 en tenant compte de calcul de génération et en prenant l'exemple de deux familles qui subirent cette guerre, la famille Yembong du village Apouh Édéa (Ferme Suisse) et la famille régnante Ndog-Njé d'Éssèka dont leur arrière-arrière et arrière grand-père Bilong Bi Bilong est celui qui mena cette guerre (souvent appelé guerre d'Oban par les Fang du Gabon), ou durant les premiers combats la coalition Bakoko-Bassa-Beti-Bulu domina sur la coalition Fang-Ntumu-Mvayi ou Fang-Mapfuer-Mabi, puis il aurait fallu pratiquement plus de 30 ans afin que les Ntumu-Fang puissent venir à bout des Bassa, qui vers 1740 avaient formaient une nouvelle coalition en incorporant totalement les Beti et les Bulu. Alors après plusieurs années de combats interminables, le redoutables guerriers Bilong Bi Bilong se replia avrec ces guerriers vers la région actuelle du Nyong-et-Kellé vers 1750. D'après notrer grand informateur et grand investigateur sur cette gueere, à savoir Maître Nyemeck Jean Marie qui est non seulement historien mais aussi expert-comptable à Yaoundé (carrefour intendance Yaoundé), qui relate que les Bassa se retira après avoir signé des alliances avec les Ntumu et Fang avec lesquels la limite fut dans un premier temps sur la rivière Mvila, puis sur le fleuve Lokoundjé, et monsieur Nyemeck nous explique aussi que la grande coalition Bassa-Mpoo-Béti-Bulu dû aussi abandonner les combats de la Mvila car il fallait se défendre aussi ver le Nord ou les Yambassa, les Bamun, les Bafia ou Bepwo, les Babuté et les Bamiléké envahisaient les territoires Bassa du Mbam, de Babimbi, et du Nkam, que c'est la raison principale qui poussa les Bassa à se retirer d'Ébolowa afin de proteger leur site sacrée de Ngog-Lituba qui était ménacé d'être envahit par les familles Tikar (Bamun, Bafia, Babuté, Mbum, Banso ) et Mbamois dont Yambassa et Banén.
Mais une autre version nous fait comprendre que la grande coalition Bassa-Mpoo-Béti-Bulu abandonna les combats avec les Fang-Ntumu (Fang-Mapfuer) à cause des armes à feu que les guerriers Fang et Ntumu se procurèrent sur la côte notamment à Cogo et à Libreville ou la coalition Fang-Ntumu-Mvayi (Fang-Mapfuer-Mabi) dotaient d'armes à feu dominèrent ainsi les Bassa-Mpoo-Beti-Bulu qui eux n'avaient pas d'armes à feu. Mais pour l'instant nous donnons raisons à tous les protagonistes, même comme toutefois la version de Maître Jean-Marie Nyemeck semble avoir le dessus car quand nous faisons le calcul des arbres géalogies des deux familles cité plus haut, nous nous situons entre 1710 à 1750 et cette période fut aussi les début des conquêtes islamiques dans le grand Fombina (le grand Nord Cameroun actuel) ou les Fulbé commencèrent è refouler les populations non islamisées du Fombina dont parmis lesquels les Tikar, qui à leur tour font bousculées les Bassa, les Béti et les Bulu établis sur les bords de la Sanaga et du Mbam, et eux à leur tour vont descendre vers le Grand-Sud Camerounais, dont scientifiquement la version Bassa des faits sembles plus réaliste.
Les amis à suivre s'ils vous plait.



12/05/2015
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 20 autres membres