CAMPANAIS ET CAMPANAISES RENDONS HOMMAGES À TOUS NOS GRANDS PARENTS ET À NOS PARENTS TOMBÉS LORS DE LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE (1914-1918).
CAMPANAIS ET CAMPANAISES RENDONS HOMMAGES À TOUS NOS GRANDS PARENTS ET À NOS PARENTS TOMBÉS LORS DE LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE (1914-1918).
Les Campanais et les Campanaises depuis Béyoh jusqu'à Biwomé-Ayop en passant par la ville de Bokombé la capitale et siège des institutions administratives de notre commune, ont tous comme un seul homme commémorés la mémoire de nos chefs de familles dont beaucoup sont morts par des morts tragiques durant la période de la Première Guerre mondiale dont notre commune fut le territoire final de cette grande guerre qui opposa les troubles allemandes et les troubles alliés(Français-Britaniques-Belges) et Campo connu des moments très difficiles que l'histoire de notre pays n'en parle jamais, et même méconnu par nous mêmes fils et filles de Campo et pourtant beaucoup de chefs et de notables de Campo furent tués et nous allons revenir dans les prochains jours sur la liste des chefs de villages et des notables des chefferies de Campo qui furent mise à mort ou qui furent pris captifs par des Allemands. Mais Campanais notons que les villages comme Itondé dans son ensemble c'est-à-dire Itondé-Fang et Itondé-Mer ou Itondé Iyassa furent presque raillés de la carte car beaucoup de Campanais de ce village moururent en masse suite au bombardement de l'armée allemande depuis la mer et ensuite sur le sol, les villages comme Matyili, Ilalé la Moto, Akak Éssamebenga, Ndingui, Mbassé, Makaoum, Ndoua, Miabéla, Mvoulé, Bitanda-Méloko, Éyonobot, Mangalé Bongonla, Zokdassembang,Mipé, Mbuya-Dipika, Békonjé-Dipika, Ékurumintum, Zogobefam, Nkolényéng, Nkolbikok, Ékoukoua, Ongat, Afan Éssamebenga, Ékop, Manmenyin, Oveng Éssakién, Ntola, Békugué, Fouo-Biwumé, Afan-Lobé, Ébianemeyong et d'autres villages furent presque rasés complètement pendant le passage des troupes allemandes furieux d'avoir perdu le Cameroun, s'acharnèrent sur la population innocente de Campo, notre Campo ou fut bien le théâtre de la déroute allemande. Hommage à tous nos ancêtres qui moururent lors de cette horrible guerre de 1914 à 1918, car campo ne fut pacifié qu'en 1918.
Campanais des noms de quelques uns de nos grands-parents méritent bien d'être mentionnés et méritent aussi que nous les rendons hommages à Campo comme le font partout d'ailleurs tant sur la côte (Sawa) que sur le territoire nationale Cameroun et parmis ces personnes nous avons le chef supérieur Mvahi-Mabi-Ntumu de Campo Éneme Zongo Anda qui sauva plusieurs notables de sa grande chefferie en se refugiant à Monte-Bata à Bata avec une bonne partie des notables de sa chefferie, nous avons le notable Mokunda Mwa Ébongwa du village Ipényèdjé qui retarda l'avancée des troupes allemandes pendant toute une journée sur les hauteurs de Wolf-Falsen (Rocher du Loup), nous avons le notables Ékubè À Bondoma du village Éjabé ou Rio Campo qui à l'époque formait un seul village avec l'actuelle Campo Beach, le notable Ékubè À Bondoma grand commerçant de Campo reussit avec sa pirogue à déjouer la vigilance de l'armée allemande en cachant un bon nombre des habitants de l'actuelle chefferie de Campo-Beach de l'autre côté des rives de l'estuaire d'Étèmbo ou Ntem, nous avons le notable Ndiva À Iyanga de la famille Bokwaba du village Ébojé qui utilisa le pouvoir "d'Ilémba à Njé" en se transformant en homme léopard c'est-à-dire un "Akunga" ou grâce à ces pouvoirs magiques découvra la tour de garde qu'avait construit les troupes allemandes tout autour du village Ébojé, reussit à tuer le soldat allemand qui était de garde en le décapitant et en emportant son bras qu'il presenta plus tard aux troupes alliés ce qui sauva le village Ébojé d'extermination. Campanais nous avons plusieurs exemples de ce genre à Campo, nous sommes entrain de faire la listes des noms des Campanais tombaient lors de la période de la première guerre mondiale de 1914 et qui dura 3 ans sur le sol de Campo (1914-1918) et qui décima presque les 33% de la population Campanaise et qui obligea autres 60% de la population Campanaise à fuirent en masse en Guinée Équatoriale et au Gabon.
Campanais comme nous le voyons bien la première guerre mondiale n'a pas épargné Campo et chaque 08 Août nous devons nous joindre à toute la grande famille côtière ou Sawa de notre pays pour commemorer la mémoire de nos ancêtres.
Nous y reviendrons.
Les Campanais et les Campanaises depuis Béyoh jusqu'à Biwomé-Ayop en passant par la ville de Bokombé la capitale et siège des institutions administratives de notre commune, ont tous comme un seul homme commémorés la mémoire de nos chefs de familles dont beaucoup sont morts par des morts tragiques durant la période de la Première Guerre mondiale dont notre commune fut le territoire final de cette grande guerre qui opposa les troubles allemandes et les troubles alliés(Français-Britaniques-Belges) et Campo connu des moments très difficiles que l'histoire de notre pays n'en parle jamais, et même méconnu par nous mêmes fils et filles de Campo et pourtant beaucoup de chefs et de notables de Campo furent tués et nous allons revenir dans les prochains jours sur la liste des chefs de villages et des notables des chefferies de Campo qui furent mise à mort ou qui furent pris captifs par des Allemands. Mais Campanais notons que les villages comme Itondé dans son ensemble c'est-à-dire Itondé-Fang et Itondé-Mer ou Itondé Iyassa furent presque raillés de la carte car beaucoup de Campanais de ce village moururent en masse suite au bombardement de l'armée allemande depuis la mer et ensuite sur le sol, les villages comme Matyili, Ilalé la Moto, Akak Éssamebenga, Ndingui, Mbassé, Makaoum, Ndoua, Miabéla, Mvoulé, Bitanda-Méloko, Éyonobot, Mangalé Bongonla, Zokdassembang,Mipé, Mbuya-Dipika, Békonjé-Dipika, Ékurumintum, Zogobefam, Nkolényéng, Nkolbikok, Ékoukoua, Ongat, Afan Éssamebenga, Ékop, Manmenyin, Oveng Éssakién, Ntola, Békugué, Fouo-Biwumé, Afan-Lobé, Ébianemeyong et d'autres villages furent presque rasés complètement pendant le passage des troupes allemandes furieux d'avoir perdu le Cameroun, s'acharnèrent sur la population innocente de Campo, notre Campo ou fut bien le théâtre de la déroute allemande. Hommage à tous nos ancêtres qui moururent lors de cette horrible guerre de 1914 à 1918, car campo ne fut pacifié qu'en 1918.
Campanais des noms de quelques uns de nos grands-parents méritent bien d'être mentionnés et méritent aussi que nous les rendons hommages à Campo comme le font partout d'ailleurs tant sur la côte (Sawa) que sur le territoire nationale Cameroun et parmis ces personnes nous avons le chef supérieur Mvahi-Mabi-Ntumu de Campo Éneme Zongo Anda qui sauva plusieurs notables de sa grande chefferie en se refugiant à Monte-Bata à Bata avec une bonne partie des notables de sa chefferie, nous avons le notable Mokunda Mwa Ébongwa du village Ipényèdjé qui retarda l'avancée des troupes allemandes pendant toute une journée sur les hauteurs de Wolf-Falsen (Rocher du Loup), nous avons le notables Ékubè À Bondoma du village Éjabé ou Rio Campo qui à l'époque formait un seul village avec l'actuelle Campo Beach, le notable Ékubè À Bondoma grand commerçant de Campo reussit avec sa pirogue à déjouer la vigilance de l'armée allemande en cachant un bon nombre des habitants de l'actuelle chefferie de Campo-Beach de l'autre côté des rives de l'estuaire d'Étèmbo ou Ntem, nous avons le notable Ndiva À Iyanga de la famille Bokwaba du village Ébojé qui utilisa le pouvoir "d'Ilémba à Njé" en se transformant en homme léopard c'est-à-dire un "Akunga" ou grâce à ces pouvoirs magiques découvra la tour de garde qu'avait construit les troupes allemandes tout autour du village Ébojé, reussit à tuer le soldat allemand qui était de garde en le décapitant et en emportant son bras qu'il presenta plus tard aux troupes alliés ce qui sauva le village Ébojé d'extermination. Campanais nous avons plusieurs exemples de ce genre à Campo, nous sommes entrain de faire la listes des noms des Campanais tombaient lors de la période de la première guerre mondiale de 1914 et qui dura 3 ans sur le sol de Campo (1914-1918) et qui décima presque les 33% de la population Campanaise et qui obligea autres 60% de la population Campanaise à fuirent en masse en Guinée Équatoriale et au Gabon.
Campanais comme nous le voyons bien la première guerre mondiale n'a pas épargné Campo et chaque 08 Août nous devons nous joindre à toute la grande famille côtière ou Sawa de notre pays pour commemorer la mémoire de nos ancêtres.
Nous y reviendrons.
MA
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